I'm learning the flowfram package and I intend a simple use of setting some frames on the page and have the text flowing through. My frames have different widths and I read from the flowfram manual that: «The command \framebreak is provided for situations where a paragraph spans two flow frames of different widths, as TEX’s output routine does not adjust to the new value of \hsize until the last paragraph of the previous frame has ended.» Is there a workaround to adding manual breaks? There is also another issue: an unexpected gap between frames.
Please see my MWE and tell me if I do something wrong. Thanks.
(PS: Sorry but I needed to use real text to show the \framebreak use so I just used this very interesting publicly available article that I was reading: https://k-larevue.com/permis-de-vivre-sur-adolfo-kaminsky/)
\documentclass[a5paper]{article}
\usepackage{lipsum}
\usepackage{graphicx}
\usepackage{flowfram}
\newflowframe*
{0.3\textwidth}% width
{0.3\textheight}% height
{0\textwidth}% x position
{0.7\textheight}% y position
\newflowframe*
{0.7\textwidth}
{0.7\textheight}
{0\textwidth}
{0\textheight}
%\newflowframe*{\textwidth}{0.4\textheight}{0pt}{0pt}
%\newstaticframe*{2in}{2in}{0pt}{0pt}
%\setstaticcontents*{1}{\includegraphics[height=2in]{chicken}}
\begin{document}
\sloppy
%\lipsum{1}
Adolfo Kaminsky, né en 1925 en Argentine, est devenu une légende : le résistant faussaire connu pour s’être spécialisé dans la fabrication \framebreak de faux papiers au cours de la Seconde Guerre mondiale. Il voulut être peintre, il est devenu un photographe discret, hésitant à montrer son travail – avant que le Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (mahJ) à Paris ne mette la lumière sur des dizaines de clichés pris pendant des décennies. Une vie clandestine, dans son œuvre comme dans ses engagements : après la guerre, il fabrique des faux papiers pour la Haganah, il est le faussaire des réseaux de soutien aux indépendantistes algériens dans les années 1950 et 1960, celui des révolutionnaires d’Amérique du Sud comme des opposants aux dictatures de l’Espagne, du Portugal et de Grèce… La philosophe Elisabeth de Fontenay témoigne de son admiration.

Adolfo posant avec ses Rolleiflex, Paris, 1997, photo prise par sa femme Leïla
L’artisanat des faux papiers, \framebreak comme la prise de vue photographique, incite à s’interroger sur ce qu’est l’authenticité, l’ici et le maintenant de l’original, cette \framebreak autorité de la chose même qui, échappant à la reproduction, ne saurait, à plus forte raison, subir de contrefaçon. Et pourtant, quelle vie véritable, véridique et vraie que celle d’Adolfo Kaminsky, ce faussaire, artisan de génie au service de la survie et de la liberté, cet artiste photographe qui tentera, quand il aura la liberté d’exister, de traduire par fragments la beauté du monde ! Un homme, fidèle à lui-même, qui a travaillé dans l’ombre de laboratoires clandestins et dans la lumière captée par le Rolleiflex.
Instantané
« Tu photographies n’importe quoi » lui dit un jour son frère. À une autre époque que ce temps de détresse, Adolfo Kaminsky aurait pu faire une carrière scientifique, mais il avait toujours voulu être peintre. Les photographes qui observent puis « prennent » une photo ont quelque chose du flâneur dont le coup d’œil et la saisie, dénués de voyeurisme, gardent leurs distances. Est-ce là capture, vol d’une image, d’un instant ? Non, chez lui, l’objectif est un oiseau qui se pose. Paris, l’eau, la nuit, les enfants, les marchés aux puces, les petits métiers, tels sont les sujets qu’il photographie.
Le fabricant de faux papiers, quand la Libération le rendit à lui-même et aux siens, donna au droit de vivre un tout autre sens : le droit de persévérer dans son être propre, d’exister selon son gré, voire selon sa fantaisie. C’est la liberté que Kaminsky s’accorda en partie quand il se mit à vivre, à flâner et à photographier au grand jour tout en poursuivant son activité de clandestin au service de la France, puis des apatrides qui voulaient fonder un État juif et y vivre, puis aider les luttes de libération, de décolonisation et se battre contre les dictatures.
Aussi est-ce un seul et même homme qu’’il faut célébrer, le regardant à la fois dans l’obscurité de la fabrique clandestine et dans la lumière d’un travail d’artiste. Il y avait un temps pour dire non aux nazis et à leurs acolytes, non encore aux tortures coloniales, et un autre pour dire oui à la beauté et à l’énigme du monde. Les deux temps pouvaient coexister.
\end{document}


\baselineskip, the gap goes away. For paracol, see also https://tex.stackexchange.com/questions/659159/how-to-fill-up-white-spaces-in-wrapfigure-with-subfigures/659169?r=SearchResults&s=1%7C0.0000#659169 – John Kormylo Mar 08 '23 at 23:22\vsplit) at the end of a page/column/frame. The only alternative to manual paragraph breaks is\parshape, which is even more work so set up. Note the second solution to https://tex.stackexchange.com/questions/669240/latex-wrapfigure/669294?r=SearchResults&s=4%7C12.6674#669294 – John Kormylo Mar 09 '23 at 01:51